Actualité

3 février 2023

Partager

Dimanche de la Santé dimanche 12 février 

Depuis 1992, l’Église universelle célèbre tous les 11 février, fête de Notre-Dame de Lourdes, la Journée Mondiale du Malade. Son thème cette année, “Prends soin de lui ​​​​​​​”.

Lire le message du Pape François

La Journée mondiale du malade se décline dans les diocèses français en un Dimanche de la Santé, pour rappeler que l’accompagnement des personnes souffrantes et la préservation du don de santé sont des priorités évangéliques.

Qu’est-ce que le Dimanche de la Santé ?

En France, cet événement se vit en paroisse à l’occasion du Dimanche de la Santé, généralement le dimanche le plus proche du 11 février. L’Église est présente sur le terrain de l’accompagnement, au sein des aumôneries hospitalières avec ses équipes de bénévoles qui œuvrent aux côtés d’associations laïques où tant de personnes de bonne volonté s’engagent aussi. 

Le Dimanche de la Santé aura lieu cette année le dimanche 12 février 2023

Autres

Articles

Ordinations de diacres permanents dimanche 16 octobre
9 août

Ordinations de diacres permanents dimanche 16 octobre

Trois futurs diacres permanents pour le diocèse de Meaux Dimanche 16 octobre à 15h30

Dominique BOURGEOIS habite à Crégy-lès-Meaux. Avec Isabelle, son épouse, ils ont quatre filles. Âgé de 55 ans, Dominique est enseignant à Meaux, au lycée Henri Moissan.

Matthieu DEMANGE demeure à Meaux. Marié à Nadège, ils ont quatre jeunes enfants, trois garçons et une fille. Âgé de 40 ans, Mathieu enseigne la physique en classe préparatoire au lycée Henri Moissan.

Pierre HERPIN réside à Chaintreaux, près de Nemours. Avec Céline, son épouse, ils ont quatre jeunes enfants, 3 filles et un garçon. Âgé de 43 ans, Pierre travaille dans une société de gestion financière à Paris.

[Laudato Si’ en action] Comprendre l’écologie
11 avril

[Laudato Si’ en action] Comprendre l’écologie

Le thème de l’écologie intégrale compte bon nombre de portes d’entrée et de lieux d’intérêt. Parmi ceux-ci, l’étude et la recherche philosophico-théologique ne sont pas en reste, y  compris dans notre diocèse. Dans un échange en visio, le père Charles Andriamparany (Meaux) et Marianna De Windt (Fontainebleau) ont croisé leurs regards sur quelques questions brûlantes.

Père Charles

Père Charles a grandi dans la campagne malgache ; la beauté et la richesse de cet environnement naturel l’a beaucoup marqué. Mais il est devenu une question lorsque l’adolescent a découvert la situation de pauvreté socio-économique de son pays. Et puis une opportunité : l’encyclique « Laudato si » a été publiée au moment où le jeune séminariste avait à choisir une spécialisation de doctorat : ce serait donc la philosophie, Hans Jonas et l’écologie. C’était en 2022, juste avant de venir dans notre diocèse en tant que prêtre « fidei donum ».

Pour Marianna, les choses sont claires : elle a certes grandi en milieu urbain, mais elle a reçu la fibre écologique de son père, immigré italien d’origine rurale pour qui le lien à la terre, aux animaux, à la nature était très fort. C’est par la doctrine sociale de l’Eglise, étudiée à l’IER, ainsi que la lecture des encycliques Querida Amazonia, Laudato Si et Fratelli Tutti qu’elle a approfondi l’écologie sous un angle particulier : celui de la justice climatique.

Quels constats ?

Père Charles : La réalité est inquiétante pour toute la planète. A Madagascar, actuellement, les cyclones sont de plus en plus puissants, à cause de l’augmentation des températures. C’est vérifié scientifiquement. Et il y a un effet cumulatif de ces phénomènes qui ne cessent de s’amplifier. Une conversion écologique commence par cette prise de conscience.

Marianna : Je m’inquiète pour la jeunesse qui voit poindre un avenir cataclysmique ! En cinquante ans, nous avons tout déréglé ! Cela pose la question de la transmission d’un héritage reçu et de la posture morale qui la sous-tend : il y a une solidarité intergénérationnelle et intragénérationnelle que l’on retrouve notamment chez les peuples autochtones et que nous n’avons plus.

Des actions ?

Père Charles :  En malgache, « pays » ou « patrie » signifie littéralement « terre des ancêtres », car la terre est un bien qui ne nous appartient pas ; elle se reçoit et se transmet.  Pour la situation actuelle, ce qui est fait est fait. Cela nous invite d’abord à une prise de conscience, à reconnaître la question de la justice climatique, et à travailler chacun dans son domaine. Personnellement, en tant que philosophe, c’est par la transmission, l’enseignement et l’éducation.

Le futur dépend de notre présent et la question de la justice est à considérer entre nous actuellement, même si le souci porte plutôt sur les générations futures. On sait par exemple qu’un seul européen consomme autant que dix malgaches. Cela signifie qu’il émet dix fois plus de gaz à effet de serre qu’un malgache. Là, seule une vraie réforme collective pourrait faire bouger les choses au niveau de la politique internationale, ce qui n’empêche pas les petites actions individuelles, comme le petit colibri. Depuis 2016 (mon arrivée en France), j’encourage ma famille à reboiser notre terre. C’est très simple : avec 100 euros, ils plantent 1000 arbres chaque année.

Marianna : Éveiller les consciences et prier pour la création ! Nous devrions introduire, dans nos eucharisties, de façon systématique, une sixième prière universelle pour la création. C’est d’abord un travail de conversion intérieure, car à l’origine de cette injustice, il y a une question spirituelle : comme pour Job, l’injustice vient structurellement du fait que l’on ne reconnaît pas la bonté du Créateur à travers la création. Nous avons à retrouver cette louange intérieure, ce merci à la vie pour tout ce qui nous est donné, à faire hospitalité à la souffrance sans nous identifier à elle, selon l’inspiration d’Edith Stein à propos de la posture d’empathie. Pour cela, nous devons promouvoir les lieux qui favorisent cette relation à la nature et à l’autre, encourager le dialogue et laisser émerger de tous nos vides une créativité féconde qui est « Bonne Nouvelle » pour tout ce qui est.

En conclusion ?

Notre foi est pleine de ressources pour affronter les défis actuels, et elle nous donne l’espérance, si nous restons dans la dynamique du salut. Peut-être sommes-nous appelés, comme dans les premiers temps de l’Église, à donner notre vie pour la création, par le sacrifice (qui n’est autre chose que don gratuit en retour de celui reçu), par l’ascèse qui est « sobriété heureuse », par le don gratuit et courageux de soi et le renoncement à satisfaire ses appétits. Il y va de la transfiguration de notre monde et finalement de la vocation sacerdotale de l’homme, telle qu’elle est vécue par nos frères et sœurs orthodoxes.

L’équipe Laudato Si du diocèse

Si vous avez des témoignages, des initiatives à faire connaître,
pour que d’autres s’en réjouissent et s’en inspirent,
contactez-nous : laudatosi@catho77.fr

Christ en scène – festival de musique chrétienne
3 août

Christ en scène – festival de musique chrétienne

Un festival de musique chrétienne se prépare dans le diocèse de Meaux. Un évènement qui confirmera que notre Eglise est jeune, belle et dynamique.

Au programme : 9 concerts de Pop Louange, Rock, Reggae, Rap ….

Christ en Scène vous accueillera le samedi 26 août 2023 au domaine de la Brosse à Ville Saint Jacques.

la messe du dimanche 27 août sera présidée par Mgr Nahmias.

Tout est prévu : navettes depuis la gare, ateliers enfants, repas sur place et même la possibilité de planter sa tente dans le domaine !

Parlez-en autour de vous et venez nombreux  le samedi 26 août pour danser, louer, chanter, partager un moment joyeux juste avant la rentrée des classes !

25 bénévoles des pôles de Montereau et de Fontainebleau organisent cet évènement.

📝 Programme de 11h à 23h30 :

Le programme de la scène “château” offre un large spectre musical pour découvrir que louer Dieu est possible sous toutes les formes musicales : pop, rap, électro, reggae…

Hopen : de la pop louange pour louer Dieu. Antoine, Camille, Armand et Charles sont les aînés d’une famille de sept enfants. Leur aventure débute en 2013. Antoine, Camille, Armand et Charles rencontrent rapidement le succès.

Matt et Sarah Marvane : un couple pétrit de Dieu et de musique. Matt a été directeur artistique de Integrity Music de 2018 à 2020 et a fondé l’église SOS Lyon avec son épouse Sarah en 2019, avec qui il chante aujourd’hui en duo.

Jubilate Pop Louange : une famille, une foi, une passion Jubilate Pop Louange, c’est une famille qui respire une seule et même foi et qui l'exprime par la musique ! Concerts, animations de messes, prières, ils traversent la France pour témoigner et soutenir la parole de Dieu par leur musique, toujours de façon bénévole.

Les Guetteurs : des mélodies entre rap et reggae pour annoncer le Seigneur Roi. Une bande de 5 musiciens expérimentés et sonorisés par un ingénieur d’exception, une équipe joyeuse capable de soulever les foules. Leurs mélodies sont entraînantes, leurs rythmes chaloupés, leurs textes poétiques. Leurs chansons atteignent leur but : toucher les cœurs.

Hillsong-YouthFr : annoncer la Bonne Nouvelle par la musique. YouthFR est l'expression par la louange d’un groupe de jeunes de l'église Hillsong France. Leur mission est d'apporter la Bonne Nouvelle de Jésus à travers une louange authentique et passionnée, pour inviter chaque génération à se rapprocher du cœur de Dieu. Ils utilisent tous les styles musicaux pour chanter leur amour de Dieu.

Gab : Vivre avec le cœur. Gabriel est un rappeur lyonnais qui témoigne de sa vie et des questions spirituelles qui l’animent par la musique. Par ses compositions, il veut amener les jeunes générations à se questionner sur leurs propres vies, à stimuler leur confiance et leur créativité.

DJ Padre : un prêtre passionné par l’annonce de l’amour de Dieu. Aujourd’hui il est prêtre prédicateur et DJ chrétien. Il anime des « christothèques », où il n’y a ni alcool, ni drogue, que « la joie pure de Dieu ».

Frère Benjamin : artiste multifacette pour annoncer Dieu à la jeunesse. Musicien, il se sert de ce vecteur pour parler de Dieu, des religions et créer des traits d’union entre les communautés avec la chorale CAP Coeur, créée après les attentats de Paris.