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10 janvier 2024

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Soirée louanges entre jeunes !

Le nouveau groupe de jeunes du pôle missionnaire de Bussy, jcb, organise une soirée louanges entre jeunes ! 🎶

🗓️ Quand ? Le 20 janvier 2024 à 18h30

📍Où ? À l’église Notre-Dame du Val, 77600 Bussy-Saint-Georges

Venez nombreux ! 👐

Leur page Instagram : @groupe_jcb

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Rencontre avec Marie-Anne, bénévole d’aumônerie de prison dans le diocèse
14 juin

Rencontre avec Marie-Anne, bénévole d’aumônerie de prison dans le diocèse

Photo des bénévoles de l'aumônerie de la prison du pôle de Meaux avec Marie-Anne.

Comment as-tu eu l'idée de t'engager dans l’aumônerie de prison ?

Lorsque j’étais au collège, j’ai fait partie du Service Missionnaire des Jeunes (SMJ). Notre devise était : « Soyons proche de ceux qui sont loin sans être loin de ceux qui sont proches ». Dans ce cadre, de nombreux intervenants venaient témoigner sur divers sujets ou présenter des pays avec leurs contextes économiques et culturels. C’est lors d’une de ces interventions que des aumôniers de prison sont venus partager leurs expériences. À ce moment-là, je me suis dit que, lorsque je serai plus mûre, j’aimerais faire la même chose. Plus tard, lors d’une rencontre avec l’évêque de Meaux, j’ai eu un déclic. Il nous a invités, en tant que chrétiens, à nous engager soit au niveau du Centre Communal d’Action Sociale de notre commune, soit dans un centre pénitentiaire. J’ai ressenti un appel précis à ce moment-là, et je suis allée voir l’aumônier titulaire du centre de détention près de chez moi pour proposer ma candidature.

À quoi sert l’aumônerie en prison ?

Le principe de laïcité implique que l’administration pénitentiaire n’intervienne pas dans la vie cultuelle des détenus. Cependant, elle est tenue d’organiser l’accès au culte, car les personnes placées sous sa responsabilité ne peuvent exercer leur liberté religieuse en dehors de la détention. L’aumônerie de prison répond à ce besoin.

L’équipe d’aumônerie est composée d’un aumônier titulaire et bénévole, d’auxiliaires bénévoles, ainsi que d’accompagnants occasionnels (« les invités du dimanche », musiciens et animateurs). L’aumônier agréé consacre une partie de son temps à :

  • Accompagner spirituellement les détenus lorsqu’ils le demandent ;
  • Célébrer des offices religieux et organiser des rencontres bibliques ;
  • Organiser les célébrations des fêtes religieuses.

Peux-tu partager une expérience qui t’as particulièrement marquée ?

En tant qu’auxiliaire bénévole d’aumônerie, je participe aux rencontres bibliques du samedi et à la messe du dimanche. À chaque rencontre, les échanges sont très riches, et j’apprends beaucoup de mes frères en prison. Ce qui me marque particulièrement, c’est le silence complet et le recueillement de nos frères incarcérés durant la prière après l’eucharistie.

As-tu un conseil à donner à une personne qui s’intéresserait à la fonction d’aumônier de prison ?

On ne va pas seul en prison ; on y va en équipe d’aumônerie unie où chaque membre est différent. Dieu nous précède, et nous sommes simplement des vecteurs d’écoute et de partage de la bonne nouvelle de Jésus-Christ.

167 adultes appelés au baptême
28 février

167 adultes appelés au baptême

Samedi 25 février dernier, Mgr Jean-Yves Nahmias, évêque de Meaux, a appelé 167 adultes à recevoir les sacrements de l'initiation chrétien (Baptême-Confirmation-Eucharistie) à la Vigile Pascale.

Rendons grâce pour ces sourires, ces émotions, cette joie (parfois jusqu'au larmes) des catéchumènes appelés. Réjouissons-nous de voir le Christ les envelopper de Sa tendresse.

Retrouvez les albums photos des deux célébrations de la journée de l'appel décisif des catéchumènes adultes.

"Seigneur, tu nous as donné des jeunes et des adultes à accueillir dans ton Église.
Dans ce temps de Carême, donne-leur comme à nous, de se rapprocher de toi, dans la prière, le service et le partage."

Peut-on devenir chrétien
une fois adulte ?
Quelles sont les étapes ?
Qui contacter ?


Tant de questions
qui ont aujourd’hui
leurs réponses.

Le service diocésain
du catéchuménat des adultes
vous propose
un espace dédié
pour tout vous expliquer.

Portons dans nos prières tous ces adultes durant cette période de Carême :

Adrien, Agnès, Ali, Amaia, Amandavel, Amandine, Anaelle, Anaïs, Angélique, Angelléna, Annaïg, Anne, Anne-Gaëlle, Anne-Sophie, Antoine, Antoinette, Armel, Aurélia, Aurélia, Awa, Aya, Barbara, Bastien, Béatrice, Benny, Bérénice, Billy, Camille, Camille, Camille, Carla, Cathy, Cécile, Célia, Céliane, Charles, Chloé, Christophe, Christophe, Claire, Clarisse, Colette, Cristian, Dimitri, Dominique, Dominique, Édina, Eliane, Elodie, Elona, Emilie, Emma, Esther, Ethan, Fanny, Geoffroy, Georges, Ghazaleh, Ghislaine, Giovanni, Grégory, Haldryche, Héloïse, Huguette, Illona, Izia, Jessica, Jessica, Jimmy, Johann, Julie, Julie, Justin, Justine, Karl, Katia, Kévin, Lalie, Laura, Laure, Laurent, Lauriane, Léa, Léa, Léa, Léa, Léa, Léa, Liliane, Lionel, Lisa, Lory, Lou-Anne, Lovis, Ludivine, Maddy, Madeleine, Madisson, Manon, Mansour, Margaux, Marie, Marine, Marion, Marion, Mathieu, Maxime, Mélanie, Mélanie, Mélissande, Micheline, Mima, Morgane, Muriel, Myriam, Nadège, Naomi, Nathanaëlle, Nicolas, Niloofar, Nolan, Norman, Ophélie, Patricia, Paul, Pauline, Priscillia, Richard, Rokiatou, Romaric, Roxia, Ruth, Sandra, Sarah, Sébastien, Sergine, Sharone, Sharuka, Simon, Slimane, Sophie, Stanley, Steeven, Steffany, Stella, Sylviane, Sylvie, Sylvie, Tatiane, Tess, Thomas, Tiffany, Tishan, Tomislav, Valentine, Vanessa, Vicky, Vincent, William, Yannick, Youri et Yvette.

Déclaration du Conseil permanent de la Conférence des évêques au sujet de l’inscription du droit à l’avortement dans la constitution
9 décembre

Déclaration du Conseil permanent de la Conférence des évêques au sujet de l’inscription du droit à l’avortement dans la constitution

« Toute vie est un don pour ce monde », déclaration du Conseil permanent de la Conférence des évêques de France du 9 décembre 2022 au sujet de l’inscription du droit à l’avortement dans la constitution.

Jeudi 24 novembre 2022, l’assemblée nationale a voté à une large majorité l’inscription du droit à l’avortement dans la constitution. Au nom des évêques de France, nous voulons dire notre inquiétude devant ce que signifierait cette inscription. Nous souhaitons redire ce qui nous semble au contraire fondamental : toute vie est un don pour ce monde, un don fragile et précieux, infiniment digne, à accueillir et à servir depuis son commencement jusqu’à sa fin naturelle.

Il y a aujourd’hui près de 220.000 avortements par an en France. Chiffre record dans la Communauté européenne, chiffre qui ne diminue pas et tend même à augmenter. Comment pourrions-nous voir cette réalité dramatique comme le seul exercice d’un droit pour les femmes ou encore comme un progrès ? N’est-ce pas surtout le signe de l’échec de toute une société pour éduquer et accompagner, soutenir socialement, économiquement et humainement celles et ceux qui en ont besoin ?

Le commandement biblique « Tu ne tueras pas » inscrit dans toutes les consciences au-delà de celles des seuls croyants confie tout être humain à la responsabilité de tous les autres. Ces enfants à naître, nous en sommes d’une certaine façon tous responsables. Ainsi, le vrai progrès ne serait-il pas que nous puissions nous mobiliser tous ensemble, croyants et non-croyants, pour que l’accueil de la vie soit davantage aidé et soutenu ? La vraie urgence ne serait-elle pas d’aider au moins les couples ou les femmes qui, aujourd’hui, n’ont pas réellement le choix et ne peuvent garder leur enfant en raison des contraintes sociales, économiques, familiales qui pèsent sur eux ou sur elles, et trop souvent sur elles seules ?

Nous reprenons les mots du pape François qui, toujours aux côtés des plus pauvres, écrivait en 2013 dans sa première exhortation apostolique Evangelii Gaudium : « cette défense de la vie à naître est intimement liée à la défense de tous les droits humains. Elle suppose la conviction qu’un être humain est toujours sacré (…) dans n’importe quelle situation et en toute phase de son développement. (…). Si cette conviction disparaît, il ne reste plus de fondements solides et permanents pour la défense des droits humains, qui seraient toujours sujets aux convenances contingentes des puissants du moment. » (n°213).

Aux côtés de bien des hommes et des femmes de bonne volonté, les catholiques continueront à servir ces droits et cette dignité des plus faibles. Ils prient aussi pour les couples et les femmes confrontés à ce drame de l’avortement. Nous redisons notre reconnaissance à toutes celles et tous ceux qui se mobilisent pour aider, accompagner, écouter, soutenir, consoler sans jamais juger ainsi qu’à tous les élus qui auront le courage – par leur vote et leur engagement – de « faire avancer la culture de la vie » (pape François, audience du 5/02/2017).

Mgr Éric de Moulins-Beaufort, archevêque de Reims et Président de la CEF,
Mgr Vincent Jordy, archevêque de Tours et vice-président de la CEF,
Mgr Dominique Blanchet, évêque de Créteil et vice-président de la CEF,
Card. Jean-Marc Aveline, archevêque de Marseille,
Mgr Laurent Ulrich, archevêque de Paris,
Mgr Dominique Lebrun, archevêque de Rouen,
Mgr Sylvain Bataille, évêque de Saint-Etienne,
Mgr Pierre-Antoine Bozo, évêque de Limoges,
Mgr Alexandre Joly, évêque de Troyes,
Mgr Matthieu Rougé, évêque de Nanterre