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28 juin 2022

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2 nouveaux prêtres et un diacre en vue du sacerdoce

nouveaux ordonnés entourant l'évêque
©Martine GIacomoni

Le jour J

Le c(h)œur de la cathédrale-basilique Saint-Étienne de Meaux a vibré au rythme des ordinations de notre diocèse. Ce dimanche 26 juin, près de 1500 fidèles, prêtres, diacres, membres de communautés religieuses se sont rassemblés pour vivre un des grands temps forts de l’Église catholique en Seine-et-Marne.

Les ordonnés

François-Olivier Larcher (48 ans) et Grégoire Oliveira Silva (33 ans), tous deux Seine-et-Marnais de naissance, sont devenu les deux nouveaux prêtres diocésains.
Vianney Audurieau (30 ans) a, quant à lui, été ordonné diacre en vue du sacerdoce, pour les Missions Étrangères de Paris.

Mes amis, en ce jour d’ordinations, laissons Dieu nous conforter dans notre mission,
nous réconforter peut-être aussi. Heureux sommes-nous d’avoir été appelés pour annoncer l’Évangile
et servir la croissance du peuple de Dieu qui nous est confié !

Homélie de Mgr Nahmias, évêque de Meaux

La célébration s’est clôturée par les mots de remerciements des tous jeunes ordonnés. Porte-parole de ses 2 co-ordonnés, le père Grégoire a chaleureusement remercié Mgr Nahmias, évêque de Meaux, Mgr Guillaume de Lisle, évêque auxiliaire et responsable du service des vocations et le père Thierry Leroy, responsable du sacerdoce, pour toutes ses années d’accompagnement. Il a également salué les nombreux paroissiens qui avaient fait le déplacement de tout le diocèse, mais aussi de la France et de l’étranger (aka Israel).

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2 nouveaux prêtres et un diacre en vue du sacerdoce
28 juin

2 nouveaux prêtres et un diacre en vue du sacerdoce

nouveaux ordonnés entourant l'évêque
©Martine GIacomoni

Le jour J

Le c(h)œur de la cathédrale-basilique Saint-Étienne de Meaux a vibré au rythme des ordinations de notre diocèse. Ce dimanche 26 juin, près de 1500 fidèles, prêtres, diacres, membres de communautés religieuses se sont rassemblés pour vivre un des grands temps forts de l’Église catholique en Seine-et-Marne.

Les ordonnés

François-Olivier Larcher (48 ans) et Grégoire Oliveira Silva (33 ans), tous deux Seine-et-Marnais de naissance, sont devenu les deux nouveaux prêtres diocésains.
Vianney Audurieau (30 ans) a, quant à lui, été ordonné diacre en vue du sacerdoce, pour les Missions Étrangères de Paris.

Mes amis, en ce jour d’ordinations, laissons Dieu nous conforter dans notre mission,
nous réconforter peut-être aussi. Heureux sommes-nous d’avoir été appelés pour annoncer l’Évangile
et servir la croissance du peuple de Dieu qui nous est confié !

Homélie de Mgr Nahmias, évêque de Meaux

La célébration s’est clôturée par les mots de remerciements des tous jeunes ordonnés. Porte-parole de ses 2 co-ordonnés, le père Grégoire a chaleureusement remercié Mgr Nahmias, évêque de Meaux, Mgr Guillaume de Lisle, évêque auxiliaire et responsable du service des vocations et le père Thierry Leroy, responsable du sacerdoce, pour toutes ses années d’accompagnement. Il a également salué les nombreux paroissiens qui avaient fait le déplacement de tout le diocèse, mais aussi de la France et de l’étranger (aka Israel).

https://www.youtube.com/watch?v=qiQwwPsmkcA
[Regards sur la marche vers Pâques ] Abaissé – élevé
20 mars

[Regards sur la marche vers Pâques ] Abaissé – élevé

Cinquième semaine de Carême

Dommage, la lettre U est déjà utilisée pour désigner une chaine de magasins, essayons la, toutefois pour dire notre foi pascale : « ABAISSÉ – ÉLEVÉ».           

À toi qui dois attendre avec impatience ton baptême, durant la nuit de Pâques. À toi qui accompagnes depuis 1 an, 2 ans, 3 ans, celle ou celui ou ceux qui marchent vers les sacrements d’initiation, durant la nuit de Pâques. À toi qui te prépares à proclamer la foi en Jésus ressuscité, avec toute ta communauté paroissiale, au cœur de la nuit de Pâques, permets que chaque semaine, avant cette vigile pascale 2023, je vienne, à partir d’œuvres d’art : sculpture, peinture, vitraux, t’aider, moi aussi, à préparer cette profession de foi à venir, en Jésus, Christ, le Fils de Dieu.

P. Henri  IMBERT

5ème catéchèse. La veillée pascale approche, avec pour toi, le baptême, ou pour toi l’affirmation en communauté de ta foi baptismale.

5ème catéchèse, avec comme fil rouge la lettre « U », courbe plane, symétrique par rapport à un axe.

5ème catéchèse après, voici 2 semaines, la présentation du vitrail du bon samaritain de la Cathédrale de SENS : une ligne descendante : « un homme descendait de Jérusalem à Jéricho ». 4 épisodes : Jérusalem – une agression en pleine campagne – « homo » - 3 personnages : le blessé, le bon samaritain, l’hôtelier. Et proche de cette dernière scène, l’ange, assis sur le couvercle du tombeau vide et proposant aux femmes « soyez sans crainte. Je sais que vous cherchez le Crucifié, il n’est pas ici, car il est ressuscité, comme il l’avait dit ». (Mt 28/5-6. Evangile de la veillée pascale). ABAISSÉ – ÉLEVÉ.

5ème catéchèse après, la semaine dernière, cette longue ligne descendante, le vitrail de la Passion à la Cathédrale de CHARTRES : portement de croix – mise en croix – descente de croix – mise au tombeau. Mais, autour de cet abaissement, quelques scènes majeures de l’Ancien Testament : le bois ne fut pas lieu de mort pour celui qui le porte comme une sorte de croix : Sanson – la veuve de Sarepta – Isaac. Quant à Elisée, voici qu’il rendait souffle à l’enfant de la veuve, ce fils est levé et le prophète le rend à sa mère.

Aujourd’hui, 5ème catéchèse. Je te propose de prendre un peu de temps et de porter ton regard sur le vitrail de la rédemption, dans la Cathédrale de LAON.

Patience ! Il est possible, tu le sais, grâce au téléobjectif, de grossir chacune des scènes. Le vitrail commence tout en bas et va nous inviter à lever notre regard jusqu’à son sommet. Oui, contrairement aux 2 précédents, ici pas de ligne descendante, d’où pas de « U » possible, seule une lecture de bas en haut.

Déjà, arrêtons-nous sur ce qui est à la base de cette verrière : une bête de somme – des apôtres reconnaissables à leur auréole – une foule assemblée – un homme torse nu qui pose son vêtement sur le sol – des parents qui poussent en avant leur enfant fasciné par Jésus. Nous sommes à la porte d’une ville. C’est le jour des Rameaux. Nous assistons à l’entrée triomphale de Jésus à Jérusalem, qui dans notre liturgie précède de 8 jours la fête de Pâques. Mais peut être qu’un détail t’a échappé ? Sais-tu que tu es là, toi, moi, dans ce vitrail ?

Tu y es comme Zachée (Luc 19/1-10) qui veut voir Jésus, ce Jésus dont il a entendu parler. Et lui, le chef publicain, de petite taille, monte dans un arbre. Il s’est élevé pour voir Celui qui doit passer par là. Toi aussi, tu es là, élevé dans l’arbre, juste au dessus de la tête de l’ânesse.

S’élever pour mieux voir Celui qui va être élevé sur la croix, Celui que le Père va élever dans la gloire, par la croix, afin qu’il retrouve la place qui est la sienne de toute éternité, ayant toutefois accepté d’être abaissé jusqu’à cette mort ignominieuse sur la croix.

Découvre ici les différentes scènes qui dévoilent la ligne directrice de cette élévation.

Voici ce que nous dit cette longue ligne verticale centrale de ce vitrail : 5 scènes pour décrire la passion, la mort, la résurrection et l’élévation du Fils de Dieu fait homme.

Entre l’entrée triomphale de Jésus à Jérusalem et le lavement des pieds « Jésus se lève de table … Je suis le maitre et Seigneur … si je vous ai lavé les pieds, vous devez vous aussi vous laver les pieds les uns aux autres. C’est un exemple que je vous ai donné » (Jn 13/1-16), voici le dernier repas de Jésus : la Cène, l’institution de l’Eucharistie, la première messe, rappelé, fêté, célébré le jeudi saint en soirée. Une longue table, nappée dressée, servie. Qui peut-on reconnaitre autour de cette table ?

Jésus bien sûr, portant un calice ; Pierre, certainement, le premier du groupe des apôtres, avec un regard interrogateur ; Jean qui a posé sa tête sur les genoux de son Seigneur (Jn 13/24-26). « En vérité je vous le déclare, l’un de vous va me livrer, qui mange avec moi » (Jn 13/21).

Jésus bien sûr, portant un calice ; Pierre, certainement, le premier du groupe des apôtres, avec un regard interrogateur ; Jean qui a posé sa tête sur les genoux de son Seigneur (Jn 13/24-26). « En vérité je vous le déclare, l’un de vous va me livrer, qui mange avec moi » (Jn 13/21). Il s’agit de Judas, le trésorier du groupe, déjà à l’écart, de l’autre côté de la table, seul. Il tient à la main une bourse derrière son dos, comme s’il voulait la cacher. Bien que petite, elle attire l’attention parce qu’elle vient mordre le cadre rouge du tableau. Elle contient les 30 pièces d’argent de la trahison. Qu’y a-t-il donc à voir ? Un calice « Ceci est mon sang, livré pour vous » ou la bourse, signe du prix de la livraison ? C’est plutôt, à la fois ET le calice ET la bourse. Voir le Christ qui se donne afin d’être pour toujours l’Eucharistie, signe de sa présence à la multitude, mais avec toujours le risque de nous voir le trahir et donc d’abaisser Celui que le Père va élever.

Entre la prière de Jésus au jardin des Oliviers, durant laquelle s’endormirent les disciples, et la condamnation par Pilate suivie de la flagellation par les soldats, voici l’arrestation de Jésus et le baiser de Judas.

Celui qui s’était déclaré : « Je suis la lumière du monde », évangile de dimanche dernier (Jn 9/5), c’est à la lumière de torches blafardes, de nuit, qu’il est arrêté. Scène de violence où l’on distingue épée et hache (Jn 18/3). Cherches-tu toujours à voir, au creux de ton arbre ? Ecoute ce que dit Jésus : «  qui cherchez-vous ? » (Jn 18/4) Oui, qui cherches-tu à voir ? 

À cet instant, comme il parlait encore, survient Judas qui livrait Jésus, son Maitre. « Il avait convenu avec eux d’un signal : celui à qui je donnerai un baiser, c’est lui, arrêtez-le » (Mc 14/44). « Judas, c’est par un baiser que tu livres le Fils de l’Homme ? » Luc 22/48) Le signe de l’amour comme signe de la trahison. Voici ce qu’il y a à voir à cet instant. « Qui cherchez-vous ? … C’est moi … » dit Jésus. Ce « c’est moi » équivaut à JE SUIS, le nom même de Dieu révélé à Moïse au buisson ardent. Dieu est à voir, ici, comme celui qui, de plus en plus, va être abaissé dans sa dignité d’homme, avant que le Père ne le relève d’entre les morts.

À l’instant, continuons à voir notre ligne ascendante de ce vitrail, comme l’illustration de l’abaissement du Fils de l’Homme. Entre le portement de croix avec la rencontre des femmes de Jérusalem et la mise au tombeau, voici Jésus mis en croix.

Que sommes-nous invités à voir ? Déjà la croix sur laquelle est pendu I.N.R.I. Cette croix est de couleur verte. Elle symbolise l’arbre de vie qui porte sur son tronc Jésus de Nazareth, le Roi des Juifs.   

À ce moment, s’il est à voir, c’est savoir voir avec le même regard que celui que porte Jésus sur ceux qui l’entourent : « voyant sa mère, et près d’elle le disciple que Jésus aimait, Jésus dit : « vois ici ton fils – vois ici ta mère » Cette mère est à voir avec ses deux mains croisées  sur sa poitrine ; lui comme tout courbé et portant le livre. Désir de voir comme Zachée dans son arbre, disions-nous, dans la scène de l’entrée de Jésus à Jérusalem ?  A cette heure nous ne nous attendions pas à voir ce que nous avons sous les yeux : une croix verte, signe d’espérance ; une femme à qui est confié un fils, un fils à qui est confiée une mère. Ton baptême lors de la veillée pascale, ou le renouvellement de notre profession de foi baptismale vont-ils nous voir confiés à l’Eglise, notre Mère, parce que disciples bien aimés ? Et nous voir confier l’Eglise parce que, par notre baptême, nous sommes devenus fils, grâce à Celui qui s’est abaissé de Dieu chez les hommes, avant que les hommes ne l’élèvent sur la croix, et que le Père ne l’élève dans sa gloire ?

Abaissé, il l’a été, mis au tombeau. Mais au matin de Pâques, voici qu’il n’y a plus rien à voir. Juste une parole à croire.

C’est pour une parole que Marie Madeleine est faite intermédiaire à l’égard de Pierre et du disciple que Jésus aimait. Elle vient de voir que la pierre a été enlevée, ce qu’elle montre d’un geste ferme de la main, invitant à voir l’absence. Et Pierre de voir que les bandelettes sont là : c’est donc que le corps n’a pas été volé.

Quant au disciple que Jésus aimait, lui, « il vit et il crut » (Jn 20/9). Le tombeau est vide. Quelle explication possible ? Seules les paroles de Jésus, vers lesquelles il est nécessaire de revenir, permettront de découvrir le sens de ce vide. L’un comme l’autre « n’avaient pas encore compris l’Ecriture selon laquelle, (Jésus) devait être levé d’entre les morts » (Jn20/9)

Elevé. Le voici, par la croix, dans la gloire.  

Mais là, nous sommes obligés de nous dire que ce qu’il y a à voir est une œuvre d’artiste. Pour nous, c’est l’invitation à croire. Le Seigneur de gloire tient dans sa main gauche une petite croix à longue hampe, symbole de sa victoire sur la mort. Il est élevé entre deux anges prosternés, précédant deux autres anges qui agitent sur son passage des encensoirs. A cet instant nous ne pouvons que croire que Celui qui s’est abaissé a été élevé et entre dans la gloire de son Père.

Nous étions ce petit bonhomme présent dans l’arbre de la scène initiale : l’entrée de Jésus à Jérusalem. Notre désir de voir n’était-il que curiosité ? Notre désir de voir nous prédisposait-il à voir Jésus élevé jusque sur la croix ? Notre marche vers Pâques nous ouvre-t-elle à un désir de voir au-delà du voir, donc à croire que Celui qui s’est abaissé a été élevé jusque dans la gloire ? A toi de voir !

Pas de « U » possible ! Qu’une longue ligne ascendante, mais qui illustre l’abaissement du Fils et par la croix, au centre de cette ligne, l’ascension pour la gloire.

Rappelle-toi : dimanche dernier a été lu le récit de la guérison de l’aveugle né, dans l’évangile de Jean. (Jn 9/1-41). Tu n’as pas pu ne pas remarquer que l’évangéliste aime bien jouer, lui aussi, avec les différents sens du verbe « voir ».

Texte : Père Henri Imbert pour le diocèse de Meaux

Christ en scène – festival de musique chrétienne
3 août

Christ en scène – festival de musique chrétienne

Un festival de musique chrétienne se prépare dans le diocèse de Meaux. Un évènement qui confirmera que notre Eglise est jeune, belle et dynamique.

Au programme : 9 concerts de Pop Louange, Rock, Reggae, Rap ….

Christ en Scène vous accueillera le samedi 26 août 2023 au domaine de la Brosse à Ville Saint Jacques.

la messe du dimanche 27 août sera présidée par Mgr Nahmias.

Tout est prévu : navettes depuis la gare, ateliers enfants, repas sur place et même la possibilité de planter sa tente dans le domaine !

Parlez-en autour de vous et venez nombreux  le samedi 26 août pour danser, louer, chanter, partager un moment joyeux juste avant la rentrée des classes !

25 bénévoles des pôles de Montereau et de Fontainebleau organisent cet évènement.

📝 Programme de 11h à 23h30 :

Le programme de la scène “château” offre un large spectre musical pour découvrir que louer Dieu est possible sous toutes les formes musicales : pop, rap, électro, reggae…

Hopen : de la pop louange pour louer Dieu. Antoine, Camille, Armand et Charles sont les aînés d’une famille de sept enfants. Leur aventure débute en 2013. Antoine, Camille, Armand et Charles rencontrent rapidement le succès.

Matt et Sarah Marvane : un couple pétrit de Dieu et de musique. Matt a été directeur artistique de Integrity Music de 2018 à 2020 et a fondé l’église SOS Lyon avec son épouse Sarah en 2019, avec qui il chante aujourd’hui en duo.

Jubilate Pop Louange : une famille, une foi, une passion Jubilate Pop Louange, c’est une famille qui respire une seule et même foi et qui l'exprime par la musique ! Concerts, animations de messes, prières, ils traversent la France pour témoigner et soutenir la parole de Dieu par leur musique, toujours de façon bénévole.

Les Guetteurs : des mélodies entre rap et reggae pour annoncer le Seigneur Roi. Une bande de 5 musiciens expérimentés et sonorisés par un ingénieur d’exception, une équipe joyeuse capable de soulever les foules. Leurs mélodies sont entraînantes, leurs rythmes chaloupés, leurs textes poétiques. Leurs chansons atteignent leur but : toucher les cœurs.

Hillsong-YouthFr : annoncer la Bonne Nouvelle par la musique. YouthFR est l'expression par la louange d’un groupe de jeunes de l'église Hillsong France. Leur mission est d'apporter la Bonne Nouvelle de Jésus à travers une louange authentique et passionnée, pour inviter chaque génération à se rapprocher du cœur de Dieu. Ils utilisent tous les styles musicaux pour chanter leur amour de Dieu.

Gab : Vivre avec le cœur. Gabriel est un rappeur lyonnais qui témoigne de sa vie et des questions spirituelles qui l’animent par la musique. Par ses compositions, il veut amener les jeunes générations à se questionner sur leurs propres vies, à stimuler leur confiance et leur créativité.

DJ Padre : un prêtre passionné par l’annonce de l’amour de Dieu. Aujourd’hui il est prêtre prédicateur et DJ chrétien. Il anime des « christothèques », où il n’y a ni alcool, ni drogue, que « la joie pure de Dieu ».

Frère Benjamin : artiste multifacette pour annoncer Dieu à la jeunesse. Musicien, il se sert de ce vecteur pour parler de Dieu, des religions et créer des traits d’union entre les communautés avec la chorale CAP Coeur, créée après les attentats de Paris.