Actualité

22 février 2023

Partager

Le Carême et les catéchumènes adultes

Le Carême est un temps liturgique important de 40 jours, sans compter les dimanches.
Il commence le mercredi des Cendres et se termine le jeudi saint, avant le dimanche de Pâques.

Cette durée de 40 jours fait référence aux quarante années passées dans le désert par le peuple d’Israël avant son entrée en terre promise. On se réfère aussi aux quarante jours passés par le Christ dans le désert entre son baptême et le début de sa vie publique. Le carême annonce un temps de préparation à un renouveau.

Le Carême pour les catholiques

Durant le temps du Carême, nous sommes invités à nous donner des moyens concrets, dans la prière, la pénitence et l’aumône pour nous aider à discerner les priorités de notre vie. Le temps du Carême est un temps autre qui incite à une mise à l’écart pour faire silence et être ainsi réceptif à la Parole de Dieu.

Source : eglise.catholique.fr

Et pour les catéchumènes adultes ?

La période du Carême revêt un caractère très particulier pour les adultes s’étant engagés sur le chemin de conversion. Rythmé par plusieurs étapes, le carême les prépare aux sacrements de l’initiation chrétienne (baptême, confirmation et Eucharistie), qui seront célébrés lors de la vigile pascale.

Je t’ai appelé par ton nom.

Is 43, 1

Le 1er dimanche de carême, l’évêque appelle solennellement les catéchumènes à recevoir le baptême au cours de la vigile pascale. Ils sont d’abord présentés par la communauté dans laquelle ils ont cheminé. Ils sont appelés ensuite par leur prénom par l’évêque. Et en répondant « Me voici », ils manifestent leur accord et s’avancent à la rencontre de l’évêque. Dès lors, ces catéchumènes devenus « appelés » inscrivent leur nom et signent le registre diocésain de l’Église. C’est la célébration de l’appel décisif.

LEXIQUE

Mercredi des Cendres

Jeudi Saint

Baptême

Catéchumène

Sacrement

Vigile pascale

Évêque

Appel décisif

Scrutin

Semaine sainte

À cette occasion, toute la communauté catholique porte cet appel ; elle accompagne et soutient par la prière les appelés marchant vers Pâques à la rencontre du Christ ressuscité.

Lors des troisième, quatrième et cinquièmes dimanches de Carême, les appelés vont vivre les scrutins au sein de leur paroisse.

La Semaine Sainte sera la dernière ligne droite avant la célébration de la vigile pascale.

Autres

Articles

Décès du pape émérite Benoît XVI ; communiqué de la Conférence des évêques de France 
31 décembre

Décès du pape émérite Benoît XVI ; communiqué de la Conférence des évêques de France 

Nous venons d’apprendre avec une grande tristesse le décès du pape émérite Benoît XVI.

Au nom de la Conférence des évêques de France, nous appelons les catholiques à prier pour lui le Dieu vivant, « qui n’est pas le Dieu des morts, mais des vivants » (Lc 20,38), en le confiant à sa miséricorde et à la puissance de Résurrection du Christ. 

Des messes et des célébrations seront organisées dans les diocèses et les paroisses pour rendre grâce pour ce qu’il a apporté à l’Église et au monde, et pour intercéder pour lui comme il le souhaitait.

Joseph Ratzinger a été un grand théologien. Sa participation au Concile l’avait mis face aux grands défis de l’Église dans le monde de la fin du XXème siècle. Il en a été un grand interprète, lucide et courageux, exigeant quant à la vérité, fidèle à la Tradition mais libre de toute nostalgie.

Archevêque de Munich, puis préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, il a servi le saint pape Jean-Paul II en admirant le pasteur et le saint, cherchant avec sa vive acuité théologique à expliciter les fondements de l’action du Pape. Le rencontrer était toujours vivre un moment de lumière, de clarté, d’espérance aussi. Les évêques en ont fait l’expérience à chaque visite ad limina. Ils en gardent de grands souvenirs.

Devenu pape à son tour, il a voulu servir l’unité de l’Église en la fondant sur la vérité la plus précise, tant dans les relations œcuméniques que dans son approche des groupes dits traditionalistes dans l’Église catholique. Il a voulu continuer l’œuvre de ses prédécesseurs en œuvrant pour la rencontre des religions et la paix dans le monde. Il a cherché à affermir ses frères et ses sœurs dans la foi par ses encycliques sur l’espérance et la charité et sur le développement humain intégral dans la justice et la charité. 

Dans un monde sécularisé, dans un climat culturel marqué par le relativisme, il a incarné la recherche exigeante mais aussi joyeuse de la foi qui aspire à adhérer à Dieu par le lien vivant que celui-ci propose aux humains. 

Il a affronté avec courage le fait des agressions sexuelles commises par des prêtres ou des religieux et n’a voulu préserver personne de la vérité qu’il y avait à faire en ce domaine. Sa lettre aux catholiques d’Irlande, en mars 2010, a ouvert une ère nouvelle, en deçà de laquelle il ne sera plus possible de retomber. 

Les Français se souviennent avec émotion du magnifique voyage de Benoît XVI en France en 2008, à Paris et à Lourdes, à l’occasion du 150ème anniversaire des apparitions de la Vierge à Lourdes. Au cours de la messe sur l’esplanade des Invalides, juste quelques semaines avant qu’éclate la crise financière de 2008, il avait appelé à « fuir les idoles » et rappelé, après saint Paul, « que la cupidité insatiable est une idolâtrie » (Cf. 3,5) et que « l'amour de l'argent est la racine de tous les maux », tandis que dans son discours au monde de la culture au collège des Bernardins il avait montré, à l’école de l’expérience monastique, que « la recherche de Dieu et la disponibilité à L’écouter, demeure aujourd’hui encore le fondement de toute culture véritable », comme une quête de la vérité dont ne peut se dispenser sans grave dommage l’humanité contemporaine.

Benoît XVI restera aussi dans l’histoire en raison de sa démission qui prit tout le monde par surprise. Elle était dans la ligne de sa profonde humilité et de son sens exigeant du service de l’Église. Il était épuisé et paraissait près de mourir. Il a finalement accompagné de longues années son successeur, assurant un ministère de recueillement et d’intercession, interrompu par peu d’interventions, toutes visant à éclairer l’intention profonde du pape François contre de mauvaises interprétations. 

En confiant à Dieu le pape émérite Benoît XVI, les catholiques rendent grâce à Dieu pour ce qu’il a donné à l’Église, visiblement et invisiblement. En leur nom, nous remercions celles et ceux qui ont voulu ou voudront lui rendre hommage. Nous invitons également tous ceux qui le voudront bien à prier avec instance pour le pape François. Qu’il poursuive sa mission avec courage et persévérance, dans la force du Christ et de l’Esprit-Saint, pour que soit loué le Nom de Dieu, 

La Présidence de la CEF : 

+Eric de Moulins-Beaufort

+Dominique Blanchet

+ Vincent Jordy

« L’Église populaire (= coextensive à une population entière) peut être une très belle réalité, mais elle n’est pas nécessaire. L’Église des trois premiers siècles fut une petite Église, et n’était pourtant pas une communauté sectaire. AU contraire, elle n’était nullement isolée, mais elle se savait responsable des pauvres, des malades, de tous. Tous ceux qui étaient à la recherche d’un Dieu unique, qui attendaient l’accomplissement d’une promesse, y ont trouvé un espace. … Cette conscience de ne pas être un club fermé, mais d’être toujours ouvert sur la totalité de la société, est un élément constitutif indissociable de l’Église… L’Église se mêlera à l’élaboration des législations et devra toujours rappeler les grandes constantes de la socialisation humaine. Car si le droit n’a plus de fondements moraux communs, il se détruit comme droit. L’Église ainsi considérée porte une responsabilité permanente pour le monde entier… C’est précisément à une toute petite communauté, les disciples, que Jésus a dit d’être le levain dans la pâte et le sel de la terre. Cela présuppose la petitesse. Cela suppose aussi la responsabilité pour le tout », cardinal Joseph Ratzinger, Voici quel est notre Dieu. Croire et vivre aujourd’hui. Conversations avec Peter Seewald, Plon/Mame,2001, p. 309 à 311 (passim)

[Regards sur la marche vers Pâques ] Jésus ressuscité
5 avril

[Regards sur la marche vers Pâques ] Jésus ressuscité

Septième semaine de Carême

Dommage, la lettre U est déjà utilisée pour désigner une chaine de magasins, essayons la, toutefois pour dire notre foi pascale : « ABAISSÉ – ÉLEVÉ».           

À toi qui dois attendre avec impatience ton baptême, durant la nuit de Pâques. À toi qui accompagnes depuis 1 an, 2 ans, 3 ans, celle ou celui ou ceux qui marchent vers les sacrements d’initiation, durant la nuit de Pâques. À toi qui te prépares à proclamer la foi en Jésus ressuscité, avec toute ta communauté paroissiale, au cœur de la nuit de Pâques, permets que chaque semaine, avant cette vigile pascale 2023, je vienne, à partir d’œuvres d’art : sculpture, peinture, vitraux, t’aider, moi aussi, à préparer cette profession de foi à venir, en Jésus, Christ, le Fils de Dieu.

P. Henri  IMBERT

C’est au cœur de la veillée pascale que, d’ici trois jours, tu seras baptisé. C’est au cœur de cette même veillée pascale que toi, baptisé depuis X années, tu auras à redire ta profession de foi baptismale. Veillée intense qui invite au passage : passage des ténèbres à la lumière ; rappel du passage de la Mer Rouge ; annonce du passage de la mort à la vie. Passage du rassemblement à la dispersion pour aller annoncer : « Alléluia, Christ est ressuscité ».

Au cœur de cette veillée, ce passage d’évangile selon Saint Matthieu : « l’ange du Seigneur descendit du ciel, vint rouler la pierre et s’assit dessus. Il avait l’aspect de l’éclair, son vêtement était blanc comme la neige. Les gardes dans la crainte qu’ils éprouvèrent, se mirent à trembler et devinrent comme morts ». (Mt 28/2-4)

Mais qu’en est-il de Celui qui fut mis au tombeau ? C’est le message de ce même ange qui va nous le dire. « Je sais que vous cherchez le crucifié, il n’est pas ici, car il est ressuscité comme il l’avait dit ». (Mt 28/5-6)

Parties, suivant l’ordre de l’ange : « allez dire aux disciples et à Pierre » (Mc 16/7), les femmes prévinrent les disciples. L’évangéliste Jean, dans l’extrait qui sera lu au cours de la messe du jour de Pâques, rapporte « qu’arrivé au tombeau Pierre aperçut les linges. C’est alors qu’entra l’autre disciple (celui que Jésus aimait) : ‘il vit et il crut’. Jusque là en effet les disciples n’avaient pas compris que selon l’Écriture, Jésus devait être relevé d’entre les morts ».

ABAISSÉ – ÉLEVÉ : Voici l’annonce vers laquelle nous avons cheminé depuis notre entrée en carême, le 22 février. L’ange est descendu pour rappeler la parole de Jésus qui annonçait qu’il devrait être relevé. Quant à lui, pour l’instant, il n’a pas été vu. L’ange a ouvert le tombeau. Les linges vérifient que le corps n’a pas été rapté.

De ce passage de la mort à la vie, pas de témoins. Seulement une parole et quelques signes. Aussi les artistes s’en sont donnés à cœur joie pour illustrer cet événement sans observateur !

Je te propose cette œuvre, au milieu de dizaines … de centaines … d’autres. Celle-ci parce que, je crois, mon « U » va prendre tout son sens. C’était ma proposition pour cette catéchèse entreprise voici 7 semaines. Ce « U » est mon fil rouge. Aujourd’hui encore, il est moyen mnémotechnique pour notre découverte : courbe plane, symétrique, par rapport à un axe. Cette peinture est un extrait du retable d’Issenheim par Matthias Grünewald et exposé au Musée Unterlinden de Colmar.

De quel événement s’agit-il ? De la résurrection de Jésus. Les éléments visuels ici proposés renvoient à ce que décrivent les évangélistes. Le tombeau est ouvert : « l’ange du Seigneur descendit du ciel, vint rouler la pierre et s’assit dessus » (Mt 28/2), même si, ici, l’ange est absent et le tombeau évoque plus un sarcophage qu’une grotte creusée. Un linge est posé sur le bord du monument : « Pierre considère les bandelettes posées là et le linge qui avait recouvert la tête » (Jn 20/6-7).

 Enfin les gardes qui « dans la crainte qu’ils en eurent, furent bouleversés et devinrent comme morts » (Mt 28/4).

 Mais surtout, œuvre de l’artiste, le Christ apparait dans les airs, dans un mouvement d’élévation, immergé dans un gigantesque nimbe de couleurs. La lumière incandescente au centre de ce nimbe rend le visage et le corps du Christ irréels. Dans son envol, le Ressuscité exhibe ses plaies, rappelant son sacrifice, tandis que les soldats ne parviennent pas à soutenir du regard cette vision. L’enveloppe corporelle du Christ est transfigurée en corps lumineux.

De quel événement s’agit-il ? De la résurrection, certes. Mais aussi de l’Ascension.

Après la résurrection, Jésus apparait aux apôtres, lesquels sont saisis de frayeur et pensent voir un esprit : « voyez mes mains et mes pieds, c’est bien moi, touchez moi ; regardez : un esprit n’a ni chair ni os comme vous voyez que j’en ai » (Luc 24/39). Et après avoir donné ses dernières instructions, « (Jésus) emmena les apôtres jusque vers Béthanie, et levant les mains, il les bénit. Or comme il les bénissait, il se sépara d’eux et fut emporté au ciel » (Luc 24/51). L’auteur, ici, traduit l’événement de l’ascension en exhibant les traces de la Passion dans les mains, les pieds et le côté transpercé – abaissement du Fils – en même temps qu’il insiste par le halo lumineux sur l’élévation du Seigneur, pour la gloire.

De quel événement s’agit-il ? Et si l’artiste nous mettait en présence de la Transfiguration ? Cette lumière au milieu des ténèbres qui provoque l’aveuglement des soldats, nous invite à retrouver cet instant où le Corps du Fils, au sommet d’une montagne, haute, élevée, change d’apparence. « Son visage resplendit comme le soleil, et ses vêtements devinrent blancs comme la lumière » (Mt 17/2). Ici, c’est moins l’envol qui est signifié que la lumière qui émane du visage.

Ressuscité, Jésus a été levé d’entre les morts. Dans l’Ascension, il est élevé au ciel. En vue d’être transfiguré, Il avait ascensionné avec Pierre, Jacques et Jean sur une haute montagne, alors qu’Il venait d’annoncer qui allait vers la mort en se rendant à Jérusalem. Ressuscité, il se fait reconnaitre par les traces de sa Passion sur son corps. Elevé dans la gloire lors de l’Ascension, précédemment il avait connu l’abaissement jusqu’à la mort. Mais « Dieu l’a exalté et lui a donné le nom qui est au dessus de tout nom » (Phil. 2/9).

D’où pour illustrer cette catéchèse sur ABAISSÉ– ÉLEVÉ, ce poème pour dire : Jésus – Christ – Fils de Dieu, composé par l’apôtre Paul et présent dans son épitre aux Philippiens, chapitre 2, versets 6 à 11. (Attention : il n’y a pas d’erreurs ; seulement l’invitation à bien suivre ce « U » dont nous parlons depuis le début de toutes ces catéchèses. Rédaction originale qui nous met en présence de l’annonce qui est au cœur de cette fête de Pâques. Hymne entendue, comme seconde lecture, lors de la messe des Rameaux).

Un vêtement blanc … de la lumière … Des éléments de la Transfiguration. Quelques uns des éléments de notre baptême ! Remontant de l’eau, insiste les récits du baptême de Jésus. Aujourd’hui encore, proclamant la foi de notre baptême ou vivant notre baptême au cœur même de la veillée pascale, nous voici porteurs de ce titre de Fils, invités à reconnaitre sur notre visage  la trace de la lumière du ressuscité – transfiguré. Lui qui après s’être ABAISSÉ a retrouvé la place qui est la sienne de toujours et pour toujours, ÉLEVÉ  qu’Il est dans la lumière et la gloire du Père.

Père Henri IMBERT

13 décembre

Laudato Si’ : Des actions en faveur de l’environnement et du lien social au pôle missionnaire de Saint-Fargeau-Ponthierry

Depuis près d’un an, le groupe Laudato’si & Fratelli Tutti propose au sein du pôle missionnaire de St Fargeau-Ponthierry des activités autour de la préservation et de la compréhension de notre environnement tout en favorisant le partage et les relations fraternelles. Le groupe inscrit son action dans la mise en pratique des messages des encycliques du Pape François à savoir, la découverte de la beauté de la création et la "préservation de la maison commune" exprimée dans Laudato' si et d'autre part l'attention fraternelle portée à l'autre, l'écoute, l'aide et le service adressés à ceux qui n'osent plus crier leur douleur ou leur solitude mais ont tant à nous dire sur le vivre ensemble comme spécifié dans Fratelli Tutti. Il s'agit de stimuler les échanges entre frères et sœurs du pôle puis "d'aller vers les périphéries" pour vivre notre foi en communion avec "toutes les brebis du troupeau", en harmonie avec la maison commune.

Concrètement, les ateliers animés par les membres du groupe Laudato Si' & Fratelli Tutti commencent par une prière sur la création. L’année dernière, nous avons organisé des ateliers éco-responsables sur la fabrication de produits ménagers écologiques et de cosmétiques naturels. Ces ateliers informent et sensibilisent sur la réduction des déchets d'emballage ainsi que la simplicité, l'efficacité, mais aussi les bienfaits sur la nature et la santé des produits écologiques et naturels comparativement aux équivalents industriels. Une visite de centrale électrique photovoltaïque a été organisée à Gien (45). Elle a permis de mesurer le bénéfice écologique de la production d'électricité verte s'inscrivant dans le triptyque Eviter-Réduire-Compenser les impacts environnementaux de l'installation. Des cours théoriques et pratiques de tailles ou de greffes d’arbres fruitiers ont permis aux nombreux participants d'acquérir un savoir-faire utile et de comprendre le cycle végétatif de ces arbres dans le but d'améliorer leur fructification et leur équilibre biologique.

Cette année, nous poursuivons la démarche avec un programme d’activités réparties sur l’année liturgique qui reprend les sujets précédents en intégrant des nouveautés notamment des cours d’initiation à l'informatique. L’objectif de ces cours vise la maîtrise d’un outil qui peut servir à rompre l’isolement de certaines personnes. Nouveauté aussi, pour chaque temps fort du calendrier liturgique, une récollection est programmée sur un thème différent.

L'art sacré, le patrimoine historiquement riche des 9 clochers du pôle et l’accessibilité des églises.

Il s'agit de faire découvrir à tous le patrimoine architectural et artistique religieux du pôle dans le cadre de la journée du patrimoine ou de concerts de musique sacrée. C'est notamment une occasion pour des fidèles en périphérie de l'église d'être interpellés dans leur chemin de foi et d'échanger fraternellement leurs vécus et leurs perceptions sur ces sujets.

Prochaine date à retenir : le 16 décembre à l'église de Boissise-la-Bertrand, de 14 h 00 à 16 h 30, récollection sur le thème : "Servir Dieu ou se servir de Dieu"

Pour toute information contacter le Frère Clément sur l'adresse : ngologoe@gmail.com