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29 novembre 2022

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[Formation] Parcours Wahou 2023

Le Service de Formation du diocèse vous propose le Parcours Wahou (la théologie du corps de saint Jean-Paul II).
8 séances de formation en ligne pour découvrir le beau projet de Dieu pour l’amour humain, pour l’homme et la femme.

Ces séances auront lieu les mardi ou jeudi soir (au choix), de 20h30 à 22h30 aux dates suivantes :

  • 3 ou 5 janvier : Introduction au parcours et à la Théologie du corps
  • 10 ou 12 janvier : Topo 1  Le plan de Dieu à l’origine
  • 17 ou 19 janvier : Topo 2  Les conséquences du péché sur la sexualité humaine
  • 24 ou 26 janvier : Topo 3  Le célibat consacré et la résurrection
  • 31 J ou 2 février : Topo 4  L’amour renouvelé par le sacrement
  • 7 ou 9 février : Topo 5  Le lien entre amour et vie
  • 14 ou 16 février : Synthèse et Questions
  • 7 ou 9 mars : Comment transmettre ce trésor ?

Vous souhaitez vous inscrire ? Remplissez le formulaire en ligne.

Pour plus d’informations :
Laurent Challan Belval – parcourswahoumeaux@gmail.com

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Articles

[Laudato Si’ en action] Les jardins partagés de Bussy-Saint-Georges
11 janvier

[Laudato Si’ en action] Les jardins partagés de Bussy-Saint-Georges

Pourquoi n’avons-nous pas de jardin potager à côté de notre église, alors qu’il y en a dans toutes les églises de France ?
C’est la question que se posait Nadine Hernantin il y a plus de trente ans, lors d’un séjour de vacance dans un presbytère désaffecté de la région de Troyes. Aujourd’hui, à Bussy-Saint-Georges, la question ne se pose plus.

Tout est parti d’une recherche, début 2020, pour les enfants du caté : comment pouvons-nous expliquer à nos petits citadins la création de la terre, des plantes, des espèces vivantes ? Une réponse très modeste a été proposée : sur une table dans le fond de l’église, on pose un bac avec de la terre, quelques graines de tomates, de courges et de salades. Et voilà que les semis commencent à germer, à se développer.
 
C’est juste le début du premier confinement. Mais le problème, en plus des plants qui grandissent, c’est le manque de lumière et de soleil. Évidemment, le fond d’une église n’est pas d’abord conçu pour l’agriculture. Père Dominique Fontaine, curé de la paroisse, propose une solution : il y a un espace de verdure derrière l’église, disponible. Les jeunes légumes y sont transplantés et au fil des mois de l’été, la petite équipe de la paroisse est allée d’apprentissage en émerveillement, de cueillettes en distribution. Cette première saison improvisée étant très bonne, à la rentrée de septembre 2020, le Père Dominique et le Père Michel font appel aux personnes intéressées pour participer ou aider : don de graines, de matériel, de plants ; l’équipe s’étoffe et c’est une petite dizaine de personnes qui vont assurer le développement du projet durant la saison suivante.
 
 

 
 
« J’ai appris énormément de choses », explique Nadine. Et de citer pêle-mêle l’association des légumes, la permaculture, les fleurs pour attirer les oiseaux - et qui servent aussi aux bouquets pour fleurir l’église -, cultiver le thym, le romarin, faire les boutures de fraisiers, mais aussi se « nourrir plus sainement » ; sans parler du compost, de la transformation des déchets ménagers en terreau. Mais le plus important, c’est sans doute les rencontres l’entraide, les échanges. Le projet est d’abord pour la paroisse. Pour le compost par exemple, chaque paroissien a reçu un petit seau vert, suite à un accord conclu entre la paroisse et la société de gestion des déchets de la ville ; et nombreux sont ceux qui alimentent le compost paroissial. Les annonces orales et écrites informent les paroissiens des travaux prévus, des légumes à récolter, de ceux qui sont disponibles et prêts à être emportés, gratuitement. Il y a aussi des journées portes ouvertes, des animations pour les enfants, des temps de cueillette pour les parents. Et bien sûr, les repas pique-nique dans un endroit aménagé.
 
 

 
 
Pour Nadine, le jardin partagé, c’est encore plus :

« C’est un lieu de ressourcement, de plaisir, de partage, car il nous aide à sortir de nos égoïsmes, de nos petits soucis individuels ». C’est aussi un lieu de louange et de prière. Pendant notre travail, nous prenons aussi le temps de lire des passages de la Bible, et d’en discuter. Et puis, pour moi qui n’ai pas été élevée dans la foi chrétienne, cela change mon regard sur les prêtres : non seulement ils bénissent le travail, les semis, les récoltes, mais ils travaillent la terre avec nous ! ».

Et de conclure : « Moi je fais les choses par passion. Et l’Église me le rend bien. Elle m’a tellement donné ! ».

Les premières graines, modestement semées, produisent décidément des fruits multiples et abondants. Une parfaite illustration, en somme, du récit de la Genèse : Dieu bénit, et voit que tout est très bon. La troisième saison commencera bientôt…

L’équipe de veille Laudato Si 77
laudatosi@catho77.fr

La piété populaire
9 février

La piété populaire

Le service diocésain de Formation vous invite à découvrir la piété populaire. Longtemps déconsidérée, celle-ci retrouve sa place dans la liturgie et l’évangélisation dans l’Église.

À partir de quelques exemples de dévotion populaire : les pèlerinages, le rosaire, le chapelet de la miséricorde divine, les vénérations des reliques des saints, le chemin de croix, …nous essaierons de voir comment laisser cette pratique du peuple chrétien nous conduire au cœur de la foi baptismale et soutenir notre désir missionnaire.

Comme le souligne le Pape François : « La piété populaire est autant un acte d’évangélisation qu’une impulsion missionnaire. Elle crée un espace de rencontre avec Jésus Christ et une manière d’exprimer la foi de l’Église ».

Le père François LABBE (diplômé de l'Institut Supérieur de Liturgie-Paris) nous aidera à réfléchir à partir de nos expériences locales et de nos questions.

QUAND : Samedi 4 mars 2023
HORAIRE : de 9h30 à 12h30
: Centre Notre-Dame des Roses - 1 rue de la Légalité, 77166 Grisy-Suisnes

CONTACT :
Babila Cromwell - Responsable du service Formation