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9 août 2022

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Ordinations de diacres permanents dimanche 16 octobre

Trois futurs diacres permanents pour le diocèse de Meaux Dimanche 16 octobre à 15h30

Dominique BOURGEOIS habite à Crégy-lès-Meaux. Avec Isabelle, son épouse, ils ont quatre filles. Âgé de 55 ans, Dominique est enseignant à Meaux, au lycée Henri Moissan.

Matthieu DEMANGE demeure à Meaux. Marié à Nadège, ils ont quatre jeunes enfants, trois garçons et une fille. Âgé de 40 ans, Mathieu enseigne la physique en classe préparatoire au lycée Henri Moissan.

Pierre HERPIN réside à Chaintreaux, près de Nemours. Avec Céline, son épouse, ils ont quatre jeunes enfants, 3 filles et un garçon. Âgé de 43 ans, Pierre travaille dans une société de gestion financière à Paris.

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Pèlerinage diocésain à Rome du 15 au 19 février 2025 pour le jubilé
11 octobre

Pèlerinage diocésain à Rome du 15 au 19 février 2025 pour le jubilé

Le pape François a annoncé un jubilé à Rome en 2025. Cette tradition proclamée par le pape Boniface VIII remonte à 1300. Elle a lieu tous les 25 ans. Le Dicastère pour l’Évangélisation est chargé de l’évènement, 32 à 40 millions de pèlerins sont attendus dans la capitale romaine dont 800 000 Français.


À l'occasion de ce Jubilé " Pèlerins d'espérance" qui commencera le 24 décembre 2024, un pèlerinage à Rome est organisé avec le service des pèlerinages du diocèse Meaux du 15 au 19 février 2025. À partir de 1 180,00 €, en chambre à deux.


Découvrez le programme - Vous pouvez vous inscrire en ligne jusqu'au 18 novembre 2024 : https://meaux2025-rome.venio.fr


Pour en savoir plus sur l'année jubilaire : https://eglise.catholique.fr/jubile-2025-pelerins-desperance/



Rencontre avec Marie-Anne, bénévole d’aumônerie de prison dans le diocèse
14 juin

Rencontre avec Marie-Anne, bénévole d’aumônerie de prison dans le diocèse

Photo des bénévoles de l'aumônerie de la prison du pôle de Meaux avec Marie-Anne.

Comment as-tu eu l'idée de t'engager dans l’aumônerie de prison ?

Lorsque j’étais au collège, j’ai fait partie du Service Missionnaire des Jeunes (SMJ). Notre devise était : « Soyons proche de ceux qui sont loin sans être loin de ceux qui sont proches ». Dans ce cadre, de nombreux intervenants venaient témoigner sur divers sujets ou présenter des pays avec leurs contextes économiques et culturels. C’est lors d’une de ces interventions que des aumôniers de prison sont venus partager leurs expériences. À ce moment-là, je me suis dit que, lorsque je serai plus mûre, j’aimerais faire la même chose. Plus tard, lors d’une rencontre avec l’évêque de Meaux, j’ai eu un déclic. Il nous a invités, en tant que chrétiens, à nous engager soit au niveau du Centre Communal d’Action Sociale de notre commune, soit dans un centre pénitentiaire. J’ai ressenti un appel précis à ce moment-là, et je suis allée voir l’aumônier titulaire du centre de détention près de chez moi pour proposer ma candidature.

À quoi sert l’aumônerie en prison ?

Le principe de laïcité implique que l’administration pénitentiaire n’intervienne pas dans la vie cultuelle des détenus. Cependant, elle est tenue d’organiser l’accès au culte, car les personnes placées sous sa responsabilité ne peuvent exercer leur liberté religieuse en dehors de la détention. L’aumônerie de prison répond à ce besoin.

L’équipe d’aumônerie est composée d’un aumônier titulaire et bénévole, d’auxiliaires bénévoles, ainsi que d’accompagnants occasionnels (« les invités du dimanche », musiciens et animateurs). L’aumônier agréé consacre une partie de son temps à :

  • Accompagner spirituellement les détenus lorsqu’ils le demandent ;
  • Célébrer des offices religieux et organiser des rencontres bibliques ;
  • Organiser les célébrations des fêtes religieuses.

Peux-tu partager une expérience qui t’as particulièrement marquée ?

En tant qu’auxiliaire bénévole d’aumônerie, je participe aux rencontres bibliques du samedi et à la messe du dimanche. À chaque rencontre, les échanges sont très riches, et j’apprends beaucoup de mes frères en prison. Ce qui me marque particulièrement, c’est le silence complet et le recueillement de nos frères incarcérés durant la prière après l’eucharistie.

As-tu un conseil à donner à une personne qui s’intéresserait à la fonction d’aumônier de prison ?

On ne va pas seul en prison ; on y va en équipe d’aumônerie unie où chaque membre est différent. Dieu nous précède, et nous sommes simplement des vecteurs d’écoute et de partage de la bonne nouvelle de Jésus-Christ.

23 novembre, fête de Saint Colomban
22 novembre

23 novembre, fête de Saint Colomban

A l’occasion de la fête de la saint Colomban, replongeons dans l’histoire de ce moine irlandais du VIe siècle, qui a été un des artisans de l’Europe chrétienne.

Né en Irlande, il devient moine mais regroupe très vite autour de lui une communauté pour porter la bonne nouvelle à tous les peuples. Il sillonne l’Angleterre avant de prendre la mer pour la France. Arrivé à Saint-Coulomb près de Saint-Malo, il traverse la France par Rouen puis passe par Chelles et non loin de Serris pour rejoindre Reims et finalement Annegray. Pèlerin infatigable, il évangélise la France, l’Allemagne, la Suisse, l’Autriche et l’Italie. Humaniste et visionnaire, il est un des premiers à entrevoir l’Europe comme entité politique. Robert Schuman, fondateur de l’Europe actuelle considérait même saint Colomban comme un des « Pères de l’Europe ».

C’est en référence à ce moine que le diocèse de Meaux a souhaité baptiser son projet « Saint-Colomban ». Ce vaste programme poursuit l’œuvre de ce moine par la construction d’une église, d’une école et d’un centre culturel à Serris. Comme l’a fait saint Colomban, le projet a pour but d’annoncer l’Evangile et de répondre aux besoins des populations là où elle se trouvent.

Pour en savoir plus sur le projet Saint-Colomban : https://www.desracinesversleciel.fr/eglise-saint-colomban/