Transmettre la foi aux nouvelles générations est la première mission de chaque communauté paroissiale
Actualité
19 février 2024
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Appel décisif des catéchumènes adultes le 17 février 2024
Rendons grâce et portons dans notre prière les 192 catéchumènes appelés qui recevront le Baptême, la Confirmation et la Communion lors de la Vigile de Pâques.
Ils ont célébré l’Appel décisif samedi 17 février et chacun a vécu un temps de dialogue personnel avec Mgr Nahmias ou Mgr de Lisle, empreint de joie et d’émotion.
Ils étaient entourés de leurs familles, amis, accompagnateurs, prêtres, diacres, séminaristes et des communautés religieuses. Ces dernières vont particulièrement prier pour eux pendant le Carême.
Comme chaque année, le mois de janvier voit arriver la semaine de prière pour l'unité des chrétiens du 18 au 25 janvier.
Cette récurrence peut nous donner l'impression qu'il s'agit d'un sujet secondaire placé dans un coin. Pourtant prier pour l'unité des chrétiens est un devoir pour chacun d'entre nous. Jésus-Christ donne sa vie sur la croix pour nous unir avec lui, à son père.
Il nous rétablit ainsi dans sa dignité. Prier pour l'unité des chrétiens nous fait reconnaître la réalité de nos divisions et nous pousse à nous laisser transformer par la miséricorde divine.
L'année 2025 correspond aux 1700 ans du Concile de Nicée qui se tint en 325. Un anniversaire que nous avons en commun qui nous donne une occasion unique de réfléchir à notre foi commune : "crois-tu cela ?" Jean 2,26 C'est pourquoi je vous invite à vous joindre aux veillées et rencontre qui ont lieu dans les Pôles Missionnaires.
Bonne semaine de prière,
+Mgr Guillaume de Lisle Évêque auxiliaire de Meaux
Documentation pour la Semaine de prière pour l’unité des chrétiens, du 18 au 25 janvier 2025.
Accueil à 14h00 au Lycée Bossuet pour le départ de la marche (4km vers la Cathédrale),12 Rue de la Visitation 77100 Meaux
Le jeudi 29 mai, dans la cathédrale de Meaux, il sera possible de faire mémoire de son baptême, de se confesser, de prendre un moment d’adoration silencieuse, de confier une intention de prière, de se recueillir auprès des reliques de Carlo Acutis, de Louis et Zélie Martin et de tous les saints du diocèse. Une occasion pour recevoir l'indulgence plénière.
Que signifie l'indulgence plénière ?
Le pape François nous l’explique : le sacrement de la Réconciliation « nous assure que Dieu pardonne nos péchés. […] Cependant, comme nous le savons par expérience personnelle, le péché «laisse des traces», il entraîne des conséquences : non seulement externes dans la mesure où il s’agit des conséquences du mal commis, mais aussi internes […].
Il reste donc, dans notre humanité faible et attirée par le mal, des «effets résiduels du péché». Ceux-ci sont éliminés par l’indulgence […].
Une telle expérience de pardon ne peut qu’ouvrir le coeur et l’esprit à pardonner. Pardonner ne change pas le passé et ne peut modifier ce qui s’est déjà passé. Mais le pardon permet de changer l’avenir et de vivre différemment, sans rancune, sans ressentiment et sans vengeance ».
Comment recevoir l'indulgence plénière ?
Se confesser (le jour même ou quelques jours avant ou après)
Participer à l’Eucharistie
Prier un Notre Père et un Je vous salue Marie aux intentions du Pape (voir page 1)
Réciter le Je crois en Dieu
Faire une démarche de pèlerinage, par exemple dans l’une des églises dédiées au Jubilé comme la cathédrale de Meaux
Accomplir une des oeuvres de miséricorde rappelées par le pape François, pour être signe d’espérance au milieu du monde (ci-dessous).
Il est possible de recevoir l’indulgence plénière pour soi-même ou pour une personne défunte, mais pas pour un autre vivant.
Pour les personnes qui ne peuvent pas faire de pèlerinage, voici la recommandation : « Les fidèles réellement repentis qui ne pourraient pas prendre part aux célébrations solennelles, aux pèlerinages ou aux visites pour de justes motifs […] bénéficieront de l’Indulgence jubilaire aux mêmes conditions, […] Chez eux ou là où ils sont retenus. »
La puissance de la nature, Dieu l'a mise au service de l'Homme, pour sa santé globale.
Fabienne l’affirme d’emblée : elle est « tombée dans la naturopathie » à la naissance de son premier enfant, il y a plus de trente ans ! Pour ne plus en sortir. En réalité, l’histoire est un peu plus longue.
En exerçant comme kinésithérapeute, son premier métier, Fabienne était étonnée de la réaction de certains clients : « Vous m’avez guéri la première fois, alors je reviens vous voir ! » Cela signifie que certains facteurs ne sont pas pris en compte dans le soin, que la cause n’a pas été traitée ! Fabienne s’interroge sur le sens de sa pratique, et plus largement sur sa vie spirituelle. Elle a la conviction que ce qu’elle fait ne suffit pas. Elle découvre et se forme alors à la kinésiologie, qui permet d’interroger l’ensemble du corps ; puis de fil en aiguille, elle obtient un diplôme d’herboriste, se forme à la méthode Pilates, qui allie le corps et le mental.
Entretemps, cinq enfants sont nés : « ce fut le vrai déclencheur de ma recherche, estime Fabienne. Tous ont été allaités longtemps ; j’ai cherché à répondre au mieux à leurs besoins naturels ». Et enfin, Fabienne entreprend une longue formation à la naturopathie. Et de citer la définition de mémoire : « La naturopathie, c’est l’ensemble des techniques naturelles pour garder son état de santé », et donc pour agir de façon préventive ou curative. L’objectif, c’est que le corps se guérisse lui-même, en lui donnant ce dont il a besoin : « Nous ne faisons pas de diagnostic sur la maladie ; ce qui intéresse le naturopathe, ce sont les signes que le corps manifeste, et les remèdes que la nature offre pour aller mieux ». Fabienne est aussi intarissable sur le sujet que les remèdes qu’elle commence à énumérer : « l’alimentation, la nutrithérapie en premier, l’exercice physique, la phytothérapie, la gemmothérapie, l’aromathérapie, les techniques liées à l’eau, l’air, le soleil … ».
Ici, un nom émerge dans les propos : sainte Hildegarde de Bingen ! Cette moniale du Moyen-âge, proclamée docteur de l’Église par Benoît XVI en 2012, est aujourd’hui une référence pour traiter la santé globale des personnes. Dieu lui a montré en visions les principes de la vie, de la santé et de la guérison des corps et des esprits. Hildegarde a mis ses visions par écrit et l’on peut donc s’y référer. « J’étais déjà catholique quand je l’ai découverte », précise Fabienne. Car au niveau de sa foi aussi, c’est par ses enfants que le chemin a été initié. Pourquoi l’un d’eux parlait-il souvent de Jésus, très jeune ? Le fait est qu’il fallut l’inscrire au caté, et reprendre soi-même le chemin de l'Église, abandonné depuis l’enfance. Mais cette foi redécouverte vient maintenant unifier la vie de Fabienne : c’est évident, la nature rapproche de Dieu, de la Source de la vie ; l’un ne va pas sans l’autre !
« Avez-vous déjà vu la force de la nature ? L’énergie d’une plante qui réussit à pousser à travers le bitume, ou sur un trottoir ? Quelle vitalité ! Et cette force de vie, elle est donnée par le Seigneur, c’est indescriptible ! »
Alors, des conseils pour combattre les virus ?
« D’abord améliorer et soigner son terrain ! Ensuite on peut améliorer des symptômes tels que la fatigue, les douleurs articulaires, les problèmes respiratoires ou de concentration. Autant de petits troubles qui affectent sérieusement la vie quotidienne. Il est important de ne pas s’installer (avec son entourage) dans une ambiance de peur qui est néfaste à tous points de vue ; c’est malheureusement ce que je constate trop souvent chez mes clients, notamment chez les jeunes. Il faut aussi s’oxygéner, aller respirer longuement dehors, sans masque. Quand on est englué dans nos problèmes, le simple fait de marcher dans la nature, de regarder un arbre ou une plante, c’est déjà un peu de cette vie qui nous atteint, qui nous régénère. »
Et de conclure : « La force de vie et de guérison, présente dans la nature, elle nous est offerte par le Maître de la vie, généreusement et de tant de façons ! La recevoir, avec respect et gratitude, c’est tout un chemin... »