Transmettre la foi aux nouvelles générations est la première mission de chaque communauté paroissiale
Actualité
15 mai 2023
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Veillée de prière pour la vie mardi 23 mai
À l’initiative des évêques d’Île-de-France. Au programme de cette veillée : témoignages, prière et louange autour du thème “La vie en plénitude”.
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Pour ceux qui ne peuvent pas participer, vous avez la possibilité de laisser votre intention par internet en cliquant sur ce lien. Chaque intention sera déposée au pied de l’autel pendant la veillée, puis confiée à une congrégation religieuse par chaque diocèse.
Le thème de cette année 2023 : « La vie en plénitude ». Cette soirée sera ponctuée par plusieurs témoignages, un temps de prière et de louange.
Avec :
Louis Bouffard, jeune de 22 ans atteint de myopathie qui témoignera de la richesse de sa vie.
Axelle Hubert qui, après avoir accompagné son mari atteint de SLA, est maintenant accompagnante de la maladie et du deuil.
Violaine Roger, assistante sociale et infirmière, a fondé La maison des plus petits qui vient en aide aux enfants polyhandicapés de moins de 6 ans, privés de la présence de leurs parents.
Rdv le Mardi 23 mai – 19h30-21h30 – St-Germain-l’Auxerrois – 2 place du Louvre – Paris 1er
Pourquoi n’avons-nous pas de jardin potager à côté de notre église, alors qu’il y en a dans toutes les églises de France ? C’est la question que se posait Nadine Hernantin il y a plus de trente ans, lors d’un séjour de vacance dans un presbytère désaffecté de la région de Troyes. Aujourd’hui, à Bussy-Saint-Georges, la question ne se pose plus.
Tout est parti d’une recherche, début 2020, pour les enfants du caté : comment pouvons-nous expliquer à nos petits citadins la création de la terre, des plantes, des espèces vivantes ? Une réponse très modeste a été proposée : sur une table dans le fond de l’église, on pose un bac avec de la terre, quelques graines de tomates, de courges et de salades. Et voilà que les semis commencent à germer, à se développer.
C’est juste le début du premier confinement. Mais le problème, en plus des plants qui grandissent, c’est le manque de lumière et de soleil. Évidemment, le fond d’une église n’est pas d’abord conçu pour l’agriculture. Père Dominique Fontaine, curé de la paroisse, propose une solution : il y a un espace de verdure derrière l’église, disponible. Les jeunes légumes y sont transplantés et au fil des mois de l’été, la petite équipe de la paroisse est allée d’apprentissage en émerveillement, de cueillettes en distribution. Cette première saison improvisée étant très bonne, à la rentrée de septembre 2020, le Père Dominique et le Père Michel font appel aux personnes intéressées pour participer ou aider : don de graines, de matériel, de plants ; l’équipe s’étoffe et c’est une petite dizaine de personnes qui vont assurer le développement du projet durant la saison suivante.
« J’ai appris énormément de choses », explique Nadine. Et de citer pêle-mêle l’association des légumes, la permaculture, les fleurs pour attirer les oiseaux - et qui servent aussi aux bouquets pour fleurir l’église -, cultiver le thym, le romarin, faire les boutures de fraisiers, mais aussi se « nourrir plus sainement » ; sans parler du compost, de la transformation des déchets ménagers en terreau. Mais le plus important, c’est sans doute les rencontres l’entraide, les échanges. Le projet est d’abord pour la paroisse. Pour le compost par exemple, chaque paroissien a reçu un petit seau vert, suite à un accord conclu entre la paroisse et la société de gestion des déchets de la ville ; et nombreux sont ceux qui alimentent le compost paroissial. Les annonces orales et écrites informent les paroissiens des travaux prévus, des légumes à récolter, de ceux qui sont disponibles et prêts à être emportés, gratuitement. Il y a aussi des journées portes ouvertes, des animations pour les enfants, des temps de cueillette pour les parents. Et bien sûr, les repas pique-nique dans un endroit aménagé.
Pour Nadine, le jardin partagé, c’est encore plus :
« C’est un lieu de ressourcement, de plaisir, de partage, car il nous aide à sortir de nos égoïsmes, de nos petits soucis individuels ». C’est aussi un lieu de louange et de prière. Pendant notre travail, nous prenons aussi le temps de lire des passages de la Bible, et d’en discuter. Et puis, pour moi qui n’ai pas été élevée dans la foi chrétienne, cela change mon regard sur les prêtres : non seulement ils bénissent le travail, les semis, les récoltes, mais ils travaillent la terre avec nous ! ».
Et de conclure : « Moi je fais les choses par passion. Et l’Église me le rend bien. Elle m’a tellement donné ! ».
Les premières graines, modestement semées, produisent décidément des fruits multiples et abondants. Une parfaite illustration, en somme, du récit de la Genèse : Dieu bénit, et voit que tout est très bon. La troisième saison commencera bientôt…
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